Page actualités du Renardweb

ci dessous des infos choisies dans l'actualité qui sont des pistes pour jouer à des JDR contemporains. 

Une étude scientifique sur le déplacement des fourmis et ses retombées informatiques (MAGE) :

Ces travaux sont inspirés par les fourmis qui laissent des phéromones sur leur passage. Les chemins les plus courts entre la fourmilière et la nourriture sont plus fréquemment empruntés, donc ceux où le plus de phéromones sont déposées et donc inconsciemment toute la fourmilière va choisir ces chemins. Les applications en informatique sont évidentes surtout pour un éveillé. Les traces laissées par le passage de données sur un réseau permettent de repérer les chemins les plus courts. Les applications industrielles et militaires sont énormes dans la guerre de l'Ascension puisqu'on peut ainsi déterminer, par la résonance laissée par le passage des mages sur le réseau digital, les voies empruntées par les différentes factions. Phéromone Infosystèmes est une société de la technocratie qui développe une telle technologie de pistage sur la toile digitale. Elle est en mesure de proposer au plus offrant la capture virtuelle de mages de traditions données. A vous de développer vos idées de scénario.

On peut imaginer le même genre de recherche sur les passages de garous ou d'esprits dans l'Umbra, ou de changelins dans le rêve.

Une société de jeux vidéos vendue au Ver (Loup-garou) :

JEUX VIRTUELS Les jeux en 3D vous donnent la nausée ? Vous n'êtes pas le seul. Un grand nombre d'utilisateurs de consoles souffrent de la "maladie du simulateur", terme utilisé naguère pour décrire le malaise ressenti par nombre d'astronautes dans les simulateurs de vol. Aujourd'hui, il est communément employé par les joueurs déstabilisés par le graphisme réaliste en trois dimensions des jeux électroniques ou d'autres environnements de réalité virtuelle. D'après l'armée américaine, qui mène depuis les années 1950 une recherche très poussée en la matière, 60% des pilotes militaires utilisant un simulateur de vol présentent au moins un symptôme de ce mal. Mais, à ce jour, il n'existe aucune évaluation du nombre de joueurs affectés, et pratiquement aucune étude n'est faite à ce propos. Pourtant, il est rare que les créateurs de jeux reconnaissent ces malaises, et les technologies mises en oeuvre n'en tiennent pratiquement jamais compte. Steve Fomor, programmeur chez Wyrm Games, le créateur des jeux Garou-killer, l'admet. "Je ne crois pas que ce soit une priorité dans la mise au point des jeux. Lorsque les personnes qui les testent se plaignent d'en ressentir les symptômes, si nous savons comment y remédier, nous le faisons. Mais nous n'y consacrons pas beaucoup de temps".

Il est bien évident que ces jeux vidéos contiennent quelque chose de malsain si les usagers tombent malades mais quel terrible secret...

Un feu à la grande bibliothèque :

"13 casernes, 35 engins et 130 hommes ont été nécessaires afin de maîtriser  le feu de gaines techniques EDF de 20 000 volts, situées dans les galeries souterraines du quai François-Mauriac, près de la Bibliothèque Nationale de France François-Mitterrand. Le courant a dû être coupé, privant 7 000 personnes d'électricité, et deux immeubles voisins ont été évacués." 

Que pensez vous que cela cache? L'incendie d'une réserve secrète de vieux >grimoires? Un déchaînement de maraudeurs? 15 jours après, retour à l'actualité avec les employés qui se plaignent de migraines suspectes et la bibliothèque qui est fermée au public pour 2 semaines.

Un virus sans gêne :

Vous avez entendu du virus cheval de Troie au japon qui vient changer sans qu'on le sache notre provider internet, notre numéro d'appel et notre mot de passe sur notre propre disque dur.
Imaginez les effets d'un tel virus sur le digital web, qui redirigerait automatiquement les connexions des mages vers un portail de Nephandis! Idée de scénario. Les joueurs sont envoyés pour enquêter sur la disparition d'un virtual adept et sa maison tout entière est un gigantesque piège commandé depuis la toile digitale par un virus informatique intelligent.